Nos films – Productions Campagne Première

Le Bonheur à l'école (2020)

Un film de Martin Meissonnier

Le Bonheur à l’école, ou « Comment réinventer l’école à l’ère numérique ». est un film documentaire de 90’ réalisé par Martin Meissonnier (Diffusion le 27 octobre sur Canal +) et une série de 3×52’ (Diffusion en janvier 2021 sur Canal +).

Des enseignants de par le monde réinventent l’éducation et préparent les enfants à devenir des adultes engagés, riches de savoirs et prêts à affronter les défis du monde à l’ère numérique. Comment l’école du XXIe siècle peut-elle se réinventer?

Le Bonheur à l’école est aussi une plateforme web interactive destinée à encourager les échanges internationaux et la pensée multiculturelle. Elle permettra aux enseignants, aux parents et aux écoliers du monde entier de partager de nouvelles méthodes d’enseignement, en contribuant à trouver des solutions à la maison, à l’école et au-delà.

Retrouvez-nous sur www.lebonheuralecole.org

Le travail a-t-il un sexe ? (2018)

Un film de Martin Meissonnier

Un film documentaire pour déconstruire les stéréotypes et discriminations. Explorer dans le monde entier les solutions pour un équilibre hommes/femmes. Quand Bonheur au Travail rime avec égalité des sexes.

Le bonheur au travail (2015)

Un film de Martin Meissonnier

Nous sommes tous en quête du bonheur et nous passons la plus grande partie de notre vie à travailler, alors pourquoi ne pas parler du « bonheur au travail » ?
Ce film vous fera découvrir les idées innovantes pour améliorer votre quotidien au travail. Quelques entreprises à travers le monde tentent de réinventer leur structure. Et surprise : elles sont économiquement très performantes !

La fée électricité (2012)

Un film de Martin Meissonnier et Pascal Signolet

Aujourd’hui, un milliard six cent mille d’êtres humains n’ont pas accès à l’électricité. Ce film raconte l’arrivée de l’électricité à Hathine, un minuscule village isolé dans les montagnes interdites du nord du Laos – un des derniers pays communistes au monde – aux frontières de la Chine et du Vietnam. L’électricité est incontestablement source de progrès. Mais ce progrès apporte-t-il le bonheur ?

Dancing City - Johannesburg (2012)

Un film de Martin Meissonnier

« Dancing City » nous emmène autour du monde pour explorer la danse et la musique urbaine avec Maïa Barouh, une jeune chanteuse et danseuse franco-japonaise pétillante, dotée d’un grand sens de l’humour.
Depuis la fin de l’apartheid, l’Afrique du Sud a connu une explosion de créativité, et Johannesburg est aujourd’hui la capitale de la « Deep House ». Naturellement, les nouveaux mélanges de genres musicaux ont donné naissance à des styles de danse aussi inventifs et hybrides que le Pantsula, qui intègre des mouvements tribaux à des pas de danse hip hop.
Maïa a une étonnante capacité à se connecter avec toutes sortes de gens et à s’adapter à des situations très différentes. Partout où elle rencontre des gens, ils lui parlent de leurs danses qui ont toutes un sens. Elles subliment fortement l’histoire de conflits et de luttes sociales du pays, et ses racines dans les différentes tribus.

Washington-Paris, la diplomatie des banlieues (2012)

Un film de Martin Meissonnier, écrit par Mohammed Nemmiche et Olivier Domerc

Quand Barack Obama a été élu en 2008, il a apporté aux jeunes politiciens d’origine immigrée de toute l’Europe un puissant espoir pour leur avenir. Ce film raconte l’histoire de leaders élus des minorités en France issus de cette génération. Leurs opinions politiques sont variées et leurs perspectives et expériences contredisent le cliché de la mauvaise réputation des banlieues françaises.
Mais il y a un problème : la diversité ethnique de la population est à peine représentée au Parlement Français. Ces jeunes élus partent à Washington rencontrer des gens comme eux qui ont réussi à percer. Aux États-Unis, ils rencontrent les légendaires stratèges politiques qui ont amené Obama à la Maison Blanche. Ces jeunes hommes et femmes d’origines diverses parviendront-ils à s’intégrer dans le petit monde étroit des initiés de la politique ?

Rose, c'est Paris (2010)

Un film de Bettina Rheims et Serge Bramly

La photographe Bettina Rheims et l’auteur Serge Bramly ont publié ensemble de nombreux livres d’art.
Pour leur nouveau projet « Rose, c’est Paris », Serge Bramly et Bettina Rheims ont décidé de tourner les séances photo et de créer un film de fiction.

Waste Your Life (2010)

Un film de Martin Meissonnier et Pascal Signolet

Ma poubelle est un trésor (poubelle la vie)
L’énorme accumulation de déchets sur notre planète pose un problème de plus en plus terrifiant.
Dans ce film, des experts venus du monde entier et même de l’espace proposent des solutions alternatives qui pourraient empêcher notre planète de devenir un gigantesque dépotoir.

Afrobeat Rules (2009)

Un film de Lucie Yeung, Christophe Petit et Martin Meissonnier

De plus en plus d’artistes disent avoir été inspirés par Fela Kuti, mais combien connaissent vraiment l’histoire de l’afrobeat ?
Ce film vous emmène en tournée en Afrique avec le groupe qui a créé ce son, Egypt 80, et son leader, le fils de Fela Kuti, Seun, dont les performances sont déjà légendaires.

Henri Leclerc, au nom de l'Homme (2008)

Un film de Rémi Lainé

Avocat des plus démunis et des causes perdues, défenseur des indépendantistes algériens, des autonomistes guadeloupéens ou bretons, des opposants marocains ou des mineurs, Henri Leclerc utilise le droit comme arme depuis plus de cinquante ans.
Reconnu par ses pairs, travailleur acharné et fin tacticien, il a largement contribué à la modernisation de la justice française. À 74 ans, le président d’honneur de la Ligue des droits de l’homme garde intacte sa capacité d’indignation.
Rencontre avec un insoumis.

Seun Kuti - Many things (2008)

Une vidéo de Christophe Petit

Seun Kuti est le plus jeune fils du pionnier de l’afrobeat Fela Kuti. Dès l’âge de 9 ans, il a commencé à ouvrir les concerts de Fela avec Egypt 80 avant que son père ne monte sur scène. Fela est décédé en 1997 et Seun a pris la tête d’Egypt 80, qu’il dirige depuis, préservant et élargissant l’héritage politique et musical de son père.

Vraie Jeanne, Fausse Jeanne (2007)

Un film de Martin Meissonnier

« Ce n’est pas la fille d’un pâtre qui a été brûlée à Rouen, mais un rejeton de la race des rois. » (Shakespeare, Henry VI). Si personne ne met en doute le personnage de Jeanne d’Arc, de nouvelles découvertes historiques viennent bouleverser sa légende.
Le culte de Jeanne d’Arc est un mythe extraordinaire. Dans la mémoire collective, elle est la petite bergère qui mourut sur le bûcher après avoir sauvé la France. Tour à tour « fille du peuple », révolutionnaire, restauratrice de la monarchie et de l’ordre divin, chef de guerre victorieuse de la Guerre de Cent Ans puis patriote trahie par les élites et l’Église, à travers sa légende s’écrit toute l’histoire du nationalisme français au XIXème siècle.
Tombée dans l’oubli durant trois siècles, Jeanne d’Arc est réapparue après la révolution pour occuper au XIXème siècle et jusqu’au régime de Vichy une place centrale dans les débats politiques et idéologiques pour ressouder les français autour de l’unité nationale. On fait naître Jeanne à Domrémy, en Lorraine, une province riche en mines que les allemands venaient d’annexer, elle entend la voix de Dieu et elle devient la pucelle qui libère la France et que les anglais brûlent pour sorcellerie.
Voilà pour la légende, mais quelle est la base réelle de sa vie qui jusqu’à ces années 1870 était quasiment oubliée ? Marcel Gay, journaliste d’investigation, a travaillé pendant plus de vingt ans sur cette enquête. Il a traqué les documents en France, en Allemagne, en Angleterre et au Vatican pour trouver les preuves qui dérangent aujourd’hui.

A la droite de Dieu (2004)

Un film de Martin Meissonnier, en collaboration avec Roger Trilling

Depuis le 11 septembre 2001, le monde a pris conscience que le Président George W. Bush appartenait au mouvement des Chrétiens Évangéliques. Leur majorité se reconnaît dans le programme, les discours et les actions du Président.
Ces chrétiens, dont le nombre est impossible à définir, tant la barrière entre fondamentalistes et moralistes est imperceptible, sont missionnaires par tradition et sont tous égaux devant Dieu. Ils utilisent les moyens de communication modernes pour prêcher la bonne parole. Or, depuis 30 ans, un courant réactionnaire gagne les Chrétiens Évangélistes. Beaucoup deviennent fondamentalistes. Qu’ils soient baptistes, charismatiques, ou pentecôtistes, conservateurs et fiers de l’être, exaltés ou solitaires, qui sont-ils ? Que veulent-ils ? À la veille des élections américaines, ce film part à la recherche de ces électeurs missionnaires du plus puissant pays du monde.

La vie de Bouddha (2003)

Un film de Martin Meissonnier

Il y a plus de 2500 ans, le Bouddha Sakyamuni atteignait le Grand Nirvana. Aujourd’hui, la moitié de la planète est influencée par la pensée de celui qui fut le premier et le plus grand des révolutionnaires. Mais qui était véritablement l’homme qu’on a appelé le Bouddha ?
Siddharta, fils du roi Suddhodan, est né entre 566 et 430 avant J.-C., au pied des contreforts de l’Himalaya. La famille du futur Bouddha appartenait à la tribu des Sakya. Dans la vallée de Katmandou, au Népal, se trouve encore une tribu bouddhiste du même nom. Depuis des milliers d’années, leurs conteurs transmettent l’histoire de Siddharta…
En confrontant les légendes transmises oralement depuis des millénaires, les récentes découvertes archéologiques et les sources historiques, le documentaire retrace la vie du Bouddha Sakyamuni et tente de mieux appréhender une pensée dont le sens fut souvent détourné.
Avec la participation de Thich Nhat Hanh, moine bouddhiste vietnamien, et du Dr Robin Coningham, maître de conférence au département des sciences archéologiques de l’université de Bradford.